LE MENSONGE CHRÉTIEN - (JÉSUS-CHRIST N'A PAS EXISTÉ)

 

TOME VI — L'ÉVANGILE DE NESSUS

I. — L'ÉVANGILE DE CÉRINTHE.

 

 

CHAPITRE XII. — DES ÉDITIONS ECCLÉSIASTIQUES (suite). L'ÂNE DE JUDA.

 

Nous sommes ici en pleine logophanie, et dirigée contre les faits. Bar-Jehoudda est entré à Jérusalem par l'Occident et prisonnier ; Jésus n'y peut entrer que par l'Orient, et libre, jusqu'à ce que son jour d'être arrêté équinoxialement soit venu. Mais comme l'histoire mentionnait un sacre célébré, et le titre de roi des Juifs usurpé par Bar-Jehoudda, il fallait les expliquer en les transfigurant, ou pour mieux dire en les défigurant. Ce qui suit est le récit de l'Entrée qui n'a pas eu lieu, une Entrée au pis-aller, où l'on ne retrouve rien de ce qu'eût été celte de Bar-Jehoudda dans sa gloire de feu. C'est comme nous l'avons dit celle de Ménahem[1] sous les Ânes de 819, et rabattue sur les événements advenus sous les Poissons de 788.

12. Le lendemain, une foule nombreuse qui était venue pour la fête, ayant appris que Jésus venait à Jérusalem,

13. Prit des rameaux de palmiers, et alla au-devant de lui, criant : Hosanna, béni celui qui vient au nom du Seigneur, comme roi d'Israël !

14. Et Jésus trouva un ânon, et s'assit dessus, comme il est écrit :

15. Ne craignez point, filles de Sion ; voici votre roi qui vient, assis sur le petit d'une ânesse.

16. Ses disciples ne comprirent point ceci d'abord ; mais quand Jésus fut entré dans sa gloire, alors ils se souvinrent que ces choses étaient écrites de lui, et qu'ils les lui avaient appliquées.

Le scribe ne cache point son procédé ; on a fait entrer Bar-Jehoudda dans la gloire en le ressuscitant, on. a cherché dans les Écritures les passages qui pouvaient s'appliquer tant bien que mal aux Anes, sans nommer la prophétie de Jacob à Juda, on en a trouvé quelques-uns auxquels personne en son temps n'avait songé, ni son père, ni sa mère, ni lui-même, et on lui en a fait l'application, à la fois pour calmer l'impatience des millénaristes et pour se jouer de la crédulité des goym.

Cérinthe, si c'est lui qui parle, n'a pas voulu asseoir le Verbe sur les deux Ânes ; Jésus ne les envoie pas chercher par les disciples comme dans certains Synoptisés, il ne trouve qu'un ânon, — le demi-signe, — que le Père lui a envoyé sans fournir d'explication, ce qui est préférable, les explications menant trop loin.

Maintenant pour quelle raison les gens de Jérusalem acclament-ils un homme qui dans l'allégorie de la Prorogation du monde s'est enfui sur le Tabor pour éviter d'être fait roi, et qui, dans la réalité, s'est enfui du Sôrtaba pour éviter la mort sur le champ de bataille ? Voici :

17. [Or c'est ainsi que rendait témoignage la multitude lui était avec lui, lorsqu'il appela Lazare du tombeau et le ressuscita d'entre les morts][2].

18. C'est pour cela aussi que la foule vint au-devant de lui, parce qu'ils avaient appris qu'il avait fourni ce signe[3].

19. Les pharisiens se dirent donc entre eux : Voyez-vous que nous ne gagnons rien ? voilà que tout le monde court après lui.

Comment n'aurait-il pas de succès ? Il fournit sous les Poissons le signe de gloire promis à la Ville de David et que Bar-Jehoudda, s'il y fût entré vainqueur, n'aurait pu fournir que trois mois après ! Mais hélas ! c'est encore une simple similitude.

 

APPEL À LA BOURSE DES GOYM.

 

Jusqu'ici, tout s'est passé entre Juifs qui ne s'entendent pas sur l'efficacité du baptême. Or le baptême, c'est l'article à vendre. Certains n'en veulent point, parce qu'ils sont renseignés sur ses origines, et que celui qui avait le plus besoin de rémission, c'est le pécheur[4] qui l'avait inventée. Mais les goym sont crédules, et bayent aux Ecritures juives. La plupart ignorent que sous Jésus il y a Joannès, et sous Joannès cet exécrable Bar-Jehoudda dont l'Apocalypse les voue tous à la destruction. Jésus a bien pris soin de ne rien dire publiquement contre eux, si ce n'est dans des paraboles très voilées, comme celle de la bergerie où est entré le fils de la Louve. Il n'a pas défendu à ses disciples d'aller chez les goym, comme il le fait dans d'autres Évangiles, il n'a pas menacé des peines éternelles les Juifs qui pactisent avec eux, il leur a ménagé Une entrée payante dans la bergerie christienne. Le tout est de faire accepter cela par les scribes qui ont transmis renseignement, les Paroles du Rabbi. Ils sont irréductibles sur le chapitre des nations, et au seul mot de goym vous avez vu tous les Naziréens, disciples authentiques de Jehoudda, se ruer sur Paul comme sur un maudit, pour le mettre en pièces[5]. Il convient de montrer, par un exemple personnel, que Bar-Jehoudda ne professait point ces idées d'excommunication, et par une démarche collective, que les goym eux-mêmes penchaient secrètement vers lui. Toutefois, on n'ose pas les mettre en présence du christ lui-même. Ce serait d'ailleurs difficile, puisqu'il est sur la route de Lydda où Is-Kérioth est en train de lui mettre la main au collet. On fait revenir Philippe pour leur servir de truchement, et comme il n'est pas mauvais d'établir en passant que ce n'est pas André qui dans les Actes est lapidé sous le nom de Stéphanos, on fait revenir également André pour servir de témoin deutéronomique à Philippe. A la condition que les goym reconnaissent sa supériorité originelle en l'appelant Seigneur, comme fait Cornélius parlant à Pierre, Philippe daignera peut-être s'interposer entre son frère et eux ; il a été son secrétaire. On pourrait aussi faire revenir Jehoudda Toâmin dans le même but, mais Philippe a le pas sur lui, il est l'aîné. Quant à Mathias Bar-Toâmin, il n'est point encore en âge de figurer dans ces négociations. Il en est ainsi de Jehoudda, surnommé Joannès-Marcos dans les Actes, fils de Shehimon dit la Pierre. Certes ils ne tètent plus, mais ils n'écrivent pas encore.

20. Or, il y avait quelques gentils, de ceux qui étaient venus adorer à la fête.

21. Ceux-ci s'approchèrent de Philippe, qui était de Bethsaïda en Galilée[6], et ils le priaient, disant : Seigneur, nous voudrions voir Jésus.

22. Philippe vint, et le dit à André ; puis André et Philippe le dirent à Jésus.

 

RÉPONSE DES JUIFS PAR LA BOUCHE DE JÉSUS.

 

La réponse de Jésus est sibylline, mais d'une diplomatie raffinée. Il ne s'étonne pas que les goym présents à la pâque de 789 aient voulu faire la connaissance de Bar-Jehoudda avant son plongeon du Guol-golta. Rien de plus naturel, au contraire ! On n'a pas tous les jours l'occasion d'être présenté à un criminel juif qui a été déclaré consubstantiel au Père. Mais ce Juif n'est devenu criminel qu'à raison des résistances injustifiables qu'il a rencontrées autour de lui. Il était le Prince du monde, entendez-vous ! Son Royaume, c'était le monde ! Les nations sont passées à côté de ce bonheur divin ; être sous le talon des Juifs !

23. Et Jésus leur répondit, disant : L'heure est venue que le fils de l'homme[7] doit être glorifié.

24. En vérité, en vérité je vous le dis, si le grain de froment, tombant sur la terre, ne meurt pas,

25. Il reste seul ; mais s'il meurt, il porte beaucoup de fruits. Celui qui aime son âme[8] la perdra ; et celui qui hait son âme en ce monde, la conserve pour la vie éternelle.

26. Si quelqu'un me sert, qu'il me suive ; et où je suis[9], là sera aussi mon serviteur. Si quelqu'un me sert, mon Père l'honorera.

27. Maintenant mon âme est troublée. Et que dirai-je ? Mon Père, délivrez-moi de cette heure. Mais c'est pour cela que je suis venu en cette heure.

28. Mon Père, glorifiez votre nom. Vint donc une voix du ciel : Et je l'ai glorifié, et je le glorifierai encore[10].

29. Or, la foule qui était là, et qui avait entendu, disait : C'est le tonnerre[11]. D'autres disaient : Un ange lui a parlé[12].

30. Jésus répondit et dit : Ce n'est pas pour moi que cette voix est venue, mais pour vous.

31. C'est maintenant le Jugement du monde, maintenant le Prince de ce monde sera jeté dehors[13].

32. Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tout à moi.

33. (Or, il disait cela, pour marquer de quelle mort il devait mourir.)

Voilà donc comment a jugé le monde en 788 ! Mais la façon dont il a jugé, le juge lui-même ! En rejetant son prince, il s'est condamné ! Car ce n'est pas seulement leur prince que les nations représentées par Rome ont crucifié, c'est leur juge. Voyez, goym qui priez Philippe d'intervenir auprès de lui, dans quelle situation vos pères vous ont mis ! Unis aux Juifs, ils ont tué le Fils de Dieu ! Ô déplorable aveuglement ! Et comment l'expierez-vous jamais ? Seule l'Église, héritière du droit de juger que possédait Bar-Jehoudda, peut vous remettre ce péché qui est comme une récidive du péché originel. Mais à supposer qu'il ait été condamné par le Sanhédrin, composé de soixante-dix membres siégeant au criminel, est-ce que sa seule qualité de Juif n'aurait pas dû montrer à Pilatus qu'il était né pour le jugement des nations ? Sur ce, gogoym, vile semence de bétail, rentrez dans vos maisons et supputez vos ressources en numéraire, car ce n'est point par de vaines larmes qu'on se lave d'un déicide !

On rencontre, il est vrai, des Juifs qui contredisent à la résurrection et à l'ascension de Bar-Jehoudda, mais Jésus va leur river leur clou avec un de ceux qui ont servi à la crucifixion.

34. Le peuple lui répondit : Nous avons appris par la loi[14] que le christ demeure éternellement ; et comment dis-tu, toi : Il faut que le fils de l'homme soit élevé ? Qui est ce fils de l'homme ?

35. Jésus leur dit donc : C'est pour un peu de temps encore que la lumière est au milieu de vous. Marchez pendant que vous avez la lumière, de peur que les ténèbres ne vous surprennent ; celui qui marche dans les ténèbres ne sait où il va[15].

36. Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, afin que vous soyez des enfants de lumière. Jésus dit ces choses ; puis il s'en alla, et se cacha d'eux.

Il se cache d'eux au moment où ils mil le plus besoin de lumière ! Excusez-le, il n'en a lui-même que pour douze heures au jour, et sous les espèces humaines il est esclave de la nuit. Cérinthe fait jouer au Verbe un rôle en opposition avec sa nature. Mais Jésus aime mieux se cacher que de répondre au désir exprimé par 'es honnêtes païens venus pour adorer le dieu des Juifs, adoration qui d'ailleurs leur était interdite à ce point Par les disciples de Jehoudda, qu'il fallut leur tirer Saül des mains en 819, lorsqu'il introduisit Tyrannus et Néapolitanus dans la Cour du Temple[16].

Au fond, tout est changé, tout le programme de l'Apocalypse est renversé. Le Prince du monde, ce Satan qui devait être précipité du ciel le 15 nisan 789 pour livrer passage au Fils de l'homme, et être enchaîné pour mille ans, c'est-à-dire pendant tout le règne personnel de Bar-Jehoudda ; le Jugement qui devait anéantir les païens par le feu et glorifier par la transfiguration les Zélateurs de la Loi, qu'est-ce que cela ici ? Qu'est-ce désormais que la défaite de Satan ? Et le Jugement ? La résurrection du Juif sur le papier, voilà toute la condamnation de Satan et tout le Jugement. Plus d'Éden, plus de Millenium ; le Royaume d'Israël, c'est Bar-Jehoudda montant au ciel derrière Jésus et attirant à lui, dans la lumière du Royaume qui n'est pas de ce monde, les victimes et les dupes de sa Révélation. Nous ne reconnaissons plus le millénariste Cérinthe, noua sommes en pleine Écriture valentinienne.

37. Mais quoiqu'il eût fait de si grands sémeia devant eux, ils ne croyaient pas en lui ;

38. Afin que fut accomplie la parole que le prophète Isaïe, a dite : Seigneur, qui a cru à ce qu'il a entendu de nous ? Et le bras du Seigneur, à qui a-t-il été révélé.

39. C'est pourquoi ils ne pouvaient croire ; et parce que Isaïe a dit encore :

40. Il a aveuglé leurs yeux et endurci leurs cœurs, pour qu'ils ne voient des yeux, et ne comprennent du cœur, et qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse.

41. Isaïe a dit ces choses quand il a vu sa gloire et qu'il parlé de lui.

Ce n'est pas la première fois que les scribes avouent leur procédé de composition. C'est longtemps après les circonstances et leur dénaturation qu'ils y ont adapté les passages tirés soit d'Isaïe soit des autres prophètes. La grosse affaire a été pour eux de faire semblant d'ignorer l'Apocalypse. Nous l'avons déjà remarqué au sujet des Ânes. Ici voyez comment on opère avec Isaïe ; on lui présente le ressuscité, il voit sa gloire, et alors il parte de lui ; mais alors seulement. Auparavant il n'en parlait pas. Nous aurons un exemple beaucoup plus éclatant de cette méthode à propos de la résurrection de Bar-Jehoudda, quand on la présentera comme une auto-résurrection ; il faudra la faire prédire par le revenant lui-même !

 

RÉSISTANCE AUX CHRISTIENS PURS À JESUS NON-ROI ET NON-JUGE.

 

42. Cependant, même parmi les chefs du peuple, beaucoup crurent en lui ; mais à cause des pharisiens, ils ne le confessaient point, de peur d'être rejetés de la synagogue ;

43. Car ils aimèrent la gloire des hommes plus que la gloire de Dieu.

Josèphe en effet constate que beaucoup parmi les grands allèrent avec Jehoudda, ses fils, particulièrement Ménahem, et ceux de Jaïr, particulièrement Éléazar. Ceux-là, comme le dit l'Évangéliste, ont préféré la gloire des hommes à celle de Dieu. C'est qu'il n'était nullement question de Dieu dans tout cela, mais d'hommes-dieux comme Bar-Jehoudda et ses frères, lyres d'ambitions temporelles. Quand on a de ces ambitions-là, il faut être Alexandre ou César. Encore Dieu y demeure-t-il toujours étranger. Ce sont les descendants e ceux-là, les Jesséens surtout, qui refusèrent d'accepter le Jésus jésuitique proposé par les Évangiles, le Jésus non-roi et non-juge sur terre, en un mot, le Verbe juif déchu[17].

Impuissant à dissiper les illusions davidiques, Jésus e prouve le besoin de regagner les hauteurs où il habite. Pour cela il lui faut donner officiellement sa démission de juge, il serait obligé de condamner, et qui ? Bar-Jehoudda, toute sa famille et tous leurs disciples. Il aime mieux s'en aller que de prononcer la sentence devant les goym qui sont là, conversant avec Philippe et André, car il lui faudrait indiquer ses motifs, lesquels seraient, malgré tous ses détours, les mêmes que ceux du Sanhédrin.

44. Mais Jésus s'écria et dit : Qui croit en moi ne croit pas en moi, mais en celui qui m'a envoyé.

45. Et qui me voit, voit celui qui m'a envoyé.

46. Moi, la lumière, je suis venu dans le monde ; afin que quiconque croit en moi, ne demeure point dans les ténèbres.

47. Et si quelqu'un entend mes paroles, et ne les garde point, je ne le juge pas, moi ; car je ne suis pas venu pour juger le inonde, mais pour sauver le monde.

48. Celui qui me méprise, et ne reçoit pas mes paroles, a qui le juge ; la parole que j'ai annoncée sera elle-même son juge au dernier jour.

40. Parce que je n'ai point parlé de moi-même ; mais mon Père, qui m'a envoyé lui-même, m'a prescrit ce que je dois dire et ce dont je dois parler.

50. Et je sais que son commandement est la vie éternelle. Ainsi ce que je dis, je te dis comme mon Père me l'a ordonné.

Mais ce Jésus-là n'est pas sûr, il s'éloigne trop de l'ancien type. On voudrait des garanties, et il n'en offre pas ; il est dans les nuages, bien qu'il prétende être la lumière, et puis vraiment il ment trop !

 

 

 



[1] Cf. Le Gogotha.

[2] Addition certaine. C'est à cause de l'Âne qu'on l'acclame.

[3] Et non fait ce miracle, comme on le lit dans la plupart des traductions. Sèmeion, le signe, il a fourni le signe de l'avènement du Messie, l'Âne.

[4] Cf. plus haut le chapitre IX.

[5] Cf. Le Gogotha.

[6] Bethsaïda n'était pas en Galilée, mais en Gaulanitide ; c'est, avons-nous dit, le nom allégorique de Gamala, bourg natal de Jehoudda.

[7] Le fils de l'homme qui s'appelait Jehoudda.

[8] Il ne faut point entendre le mot comme on le fait aujourd'hui. L'âme au contraire, c'est la vie du corps.

[9] C'est le Verbe qui parle. Il a la possession d'état, le ciel est sa demeure de toute éternité, avant la création. Même esprit que le prologue.

[10] A double sens. Chaque année à la Pâque Dieu glorifie son Verbe solaire. Jadis au Jourdain il avait révélé le baptême de rémission à Bar-Jehoudda, et sous la forme de la colombe il lui avait dit : Tu es mon fils, je t'ai engendré aujourd'hui. Cf. Le Charpentier.

[11] Il faut savoir que dans l'Apocalypse la Parole de Dieu est un tonnerre dont les sept fils de Jehoudda, les sept Boanerguès (fils du tonnerre) des Évangiles, sont comme le roulement parvenu a la terre. Cf. Le Roi des Juifs.

[12] L'ange qui, dans l'Apocalypse parle à Bar-Jehoudda pour lui expliquer les mystères du ciel, c'est Jehoudda son père. Cf. Le Roi des Juifs.

[13] Hors de la ville, au Guol-golta.

[14] Ils citent la loi, puisqu'il est entendu que l'Apocalypse n'est plus l'œuvre du crucifié. Au surplus, l'Apocalypse n'est elle-même que l'interprétation de la Loi.

[15] Répétition sous une autre forme de ce qu'il a dit au christ et à frères avant d'aller ressusciter Éléazar.

[16] Cf. Le Gogotha.

[17] Les Jesséens (de Jessé, père de David) avaient conservé la pure tradition christienne.